Tout au long de l’année 2023, Predilife, pionnière de la médecine prédictive en France, a réalisé une enquête de satisfaction (1) auprès des salariés ayant bénéficié, grâce à leurs entreprises et sur la base du volontariat et de l’anonymat, d’un bilan de santé prédictif du cancer du sein ou multipathologies (cancers du poumon, colorectal, de la prostate/sein, mélanome et maladies cardiovasculaires). Les résultats parlent d’eux-mêmes, démontrant l’efficacité et l’impact positif des bilans de santé prédictifs sur la santé individuelle, la marque employeur et l’absentéisme.
Des bilans prédictifs pour une santé d’entreprise durable
Des chiffres nationaux révélateurs : les maladies graves, telles que les cancers, ont des répercussions significatives tant sur l’individu que sur l’entreprise. À titre d’exemple, 40 % des personnes apprenant qu’elles ont un cancer sont en poste (2), et le coût direct annuel du cancer du sein pour une entreprise de 1000 salariés est estimé à 53 000 € (3).
En proposant aux entreprises des bilans prédictifs des maladies redoutées (principaux : cancers et maladies cardiovasculaires) pour le compte de leurs salariés, Predilife tend à réduire les risques de survenance de ces maladies graves tout en faisant de la santé l’un des piliers essentiels de la politique RH des entreprises.
L’enquête de satisfaction menée auprès des bénéficiaires issus de secteurs variés (BTP, distribution, industrie, luxe, restauration, assurance…) a révélé d’excellentes appréciations des salariés, d’une part sur les bilans, mais aussi sur la démarche initiée par leur entreprise avec un impact fort sur les enjeux des DRH :
- une hausse de 6 points sur 10 de l’engagement des salariés ;
- un taux de satisfaction globale de 4,6/5 ;
- un taux de recommandation de 92 %.
Les salariés qualifient la démarche de leur entreprise comme étant « innovante » (9/10) et « bienveillante » (8/10). Réaliser ces bilans a eu un impact significatif sur l’augmentation de leur sentiment de bien-être ainsi que sur le renforcement de leur engagement envers leur entreprise.
Les bilans de santé en entreprise, un dispositif gagnant-gagnant
Les bénéfices des bilans de santé prédictifs proposés par Predilife sont multiples, tant pour les individus que pour les entreprises.
Du côté des collaborateurs, ils leur permettent de :
- prendre leur santé en main ;
- connaître leur risque de développer une maladie grave et ainsi de bénéficier d’un protocole de suivi médical personnalisé adapté à leur profil de risque ;
- accéder à des médecins sans contrainte de déplacement. Le parcours de prévention est complet et se réalise en ligne avec un médecin en téléconsultation.
Les entreprises peuvent quant à elles :
- renforcer leur attractivité et muscler leur marque employeur ;
- développer leur engagement santé conformément à la loi du 2 août 2021 ;
- favoriser l’engagement des collaborateurs en prenant soin d’eux ;
- réduire l’absentéisme et les coûts générés par la dégradation de l’état de santé des collaborateurs ;
- augmenter in fine la performance globale de l’entreprise.
Tout cela en proposant des projets adaptés en fonction des budgets disponibles.
La santé, un sujet légitime pour l’entreprise
L’enquête IPSOS (4) réalisée pour Predilife en 2023 a révélé que 80 % des salariés estiment que l’entreprise est légitime à proposer des bilans de santé/dépistage pour prévenir les risques de maladies redoutées.
On constate de manière globale que les actions concrètes mises en place en entreprise visant à prendre soin des salariés sont davantage orientées vers le bien-être que la santé. Les principaux sujets traités étant de loin les conditions de travail (locaux, matériel, espaces…) et l’organisation au travail (télétravail, horaires). Jusqu’à présent, le sujet de la santé est principalement abordé sous l’angle des obligations légales (médecine du travail, suivi psychologique…). Et pourtant, la question de la santé en entreprise est aujourd’hui tout aussi légitime que celle du bien-être : 79 % des salariés estiment que l’entreprise est légitime à se préoccuper de leur santé (80 % de leur bien-être) (4).
Vers une démocratisation du bilan de santé en entreprise ?
L’enquête IPSOS x Predilife (4) nous révèle également que le bilan de santé/dépistage des maladies redoutées figure dans le TOP 3 des actions attendues par les salariés pour prendre soin des collaborateurs, à égalité avec le sport (80 %), et juste derrière les actions en faveur de la gestion du stress/de la santé mentale (90 %). Au-delà du bien-être, la santé est clairement exprimée comme un enjeu majeur qui doit être davantage considéré et intégré dans la stratégie des entreprises.
Jusqu’à présent, les bilans de santé sont souvent réservés aux cadres dirigeants des grandes entreprises avec des check-up effectués dans quelques centres de la région parisienne… L’enjeu est aujourd’hui de permettre à l’ensemble des salariés via leur entreprise d’accéder à une prévention santé plus régulière et personnalisée, au-delà des obligations légales, surtout pour les populations qui peuvent rencontrer des difficultés d’accès aux soins du fait des déserts médicaux.
Plus que répondre à une attente des collaborateurs, offrir des bilans de santé à tous les salariés serait non seulement une solution aux nouveaux enjeux de santé publique (santé mentale, sédentarité, pénurie de médecins, emploi des seniors) mais aussi aux nouveaux enjeux RH (difficultés de recrutement, fidélisation, arrêt de travail, désengagement). Les salariés vont travailler de plus en plus tard… Il est important que les entreprises prennent soin de leurs collaborateurs.
Les bilans de santé sont un outil de prévention efficace qui présente de nombreux bénéfices tant pour les salariés que pour les entreprises, un investissement gagnant-gagnant : santé & performance !
(1) Enquête de satisfaction menée en 2023 auprès de plus de 1000 salariés bénéficiaires des bilans Predilife.
(2) https://www.e-cancer.fr/Institut-national-du-cancer/Cancer-et-emploi
(3) https://www.mercer.fr/what-we-do/sante-et-prevoyance/ambition-bien-etre.html
(4) Enquête IPSOS pour Predilife menée entre le 24 mars et le 29 avril 2023 auprès de 181 décideurs et 1000 salariés, dans entreprises avec au moins 50 salariés.