Le monde du travail temporaire a fait apparaître un nouveau métier : l’intérim expert. Le métier que développe Walters Intérim depuis ses débuts.
Et l’intérim expert est en ébullition. Marché en forte progression, et perception améliorée ; le reste du monde est déjà bien engagé sur cette voie comme le montre les comparatifs Walters People. L’intérim a donc de l’avenir sous certaines conditions.
Forte d’une croissance ininterrompue depuis sa création, Walters People, la filiale du groupe mondial Robert Walters, a bénéficié de cette évolution.
Dans ces conditions, les candidats deviennent à juste titre plus exigeants. Et parce que nous sommes convaincus qu’ils méritent un réel service, nous avons affiché notre valeur première et historique en changeant de nom. Parce que « people are precious », Walters Intérim devient Walters People. C’est ainsi l’affirmation d’une conviction, Walters People doit être résolument tourné vers l’approche candidat.
En devenant Walters People, Walters Interim affirme ses valeurs et son approche du métier
Pourquoi changer d’identité ?
« En devenant Walters People, nous affirmons notre identité pour une perception davantage en adéquation avec notre approche et nos valeurs humaines. » explique Antoine Morgaut, CEO Europe et Amérique du Sud du groupe Robert Walters. « Nous connaissons une forte croissance de notre activité. Changement de bureaux, élargissement de nos missions à l’ensemble des formes contractuelles de travail temporaire… Nous changeons d’échelle tout en étant plus que jamais déterminés à poursuivre et à affirmer notre investissement pour le développement d’une véritable qualité de service au candidat. Notre métier, c’est d’offrir l’excellence et la fluidité dans le marché de l’emploi ».
Qui est Walters Intérim ?
Fondée en 2005, la filiale française du groupe Robert Walters est dédiée au travail temporaire comptable et financier. Basée à Paris et à Lyon, Walters Intérim connaît une croissance ininterrompue depuis sa création, enregistrant même une progression de son chiffre d’affaire multiplié par 2,5 de 2007 à 2010. En deux ans et demi, elle a presque doublé le nombre de contrats intérim sous sa responsabilité.
Les spécificités de son approche :
– Une relation partenariale avec le candidat
– Une forte spécialisation
– La recherche de l’excellence
Le groupe gère actuellement plus de 2 500 intérimaires dans le monde, dont 65% oeuvrent dans le domaine comptable et financier. Walters Intérim peut affirmer haut et fort : l’intérim, et plus particulièrement l’intérim comptable et financier, se porte bien !
L’Intérim expert, un marché et un métier métamorphosés
Un marché en progression
Si l’intérim a été le premier secteur à subir les effets de la crise en 2008, il semble aussi avoir été le premier à rebondir début 2010. Walters People confirme ces tendances.
« Aujourd’hui, certains indicateurs économiques sont au vert mais les entreprises restent prudentes. L’intérim leur permet alors de gérer la sortie de crise en douceur et de profiter de la reprise. Si la tendance se confirme, l’Intérim permet aux entreprises de faire évoluer ces contrats en CDI le moment voulu » explique Alain Mlanao, Managing Director de Walters People.
Zoom sur quelques grandes tendances
– La demande de professionnels intérimaires en Comptabilité s’est accrue. Au premier semestre 2010, les entreprises recrutaient en nombre les agents de recouvrement pour faire face aux conséquences de la crise. Au deuxième semestre, les sociétés de taille moyenne jouissant d’une expansion structurelle généraient alors une augmentation des missions temporaires relatives au développement de projets. Conséquence de cette recrudescence de la demande, Walters People anticipe pour 2011 une hausse des revenus pour les postes à haut salaire grâce à un regain de confiance et une pénurie constante de profils pointus.
– La crise économique a par ailleurs engendré un ralentissement du marché du recrutement dans les services relatifs à la banque et à l’assurance, notamment en asset management. Bien que le volume d’embauches ait globalement diminué, les entreprises ont eu recours à l’intérim pour faire face à l’augmentation de la charge de travail ou occuper les postes vacants. Les profils offrant des compétences spécifiques ont également vu croître leur demande. L’évolution des réglementations bancaires a engendré, à titre d’exemple, des besoins en contrôle des risques et en contrôle opérationnel.
– En 2011, une augmentation significative du volume des missions de travail temporaire en Business Support viendra confirmer la tendance à la hausse amorcée durant le second semestre 2010. La flexibilité restera un atout clé pour les entreprises en 2011, entraînant une augmentation du volume de postes à pourvoir, notamment dans l’assistanat de direction, l’assistanat administratif et l’administration des ventes.
Depuis une dizaine d’année, nous assistons toutefois à une progression continue de l’intérim expert (ou intérim « col blanc ») indépendante de tout contexte de crise. Il s’agit ainsi d’un phénomène plus structurel sur ce marché de niche.
Un marché en pleine mutation
Si le travail temporaire connaît une croissance significative, il change aussi progressivement de visage.
L’intérim devient expert
Conséquence de la loi Borloo de 2005, les cabinets d’intérim ont vu leur champ d’action élargi avec la possibilité d’intervenir également sur le segment des contrats à durée déterminée et indéterminée. L’évolution de la réglementation du marché a induit une mutation notable du métier du recrutement temporaire. D’intérim pur, les agences sont passées à une approche et à une base de candidats diversifiés, amenant à un glissement progressif vers un intérim expert davantage tourné vers la gestion des compétences pointues.
Un positionnement ayant toujours été celui de Walters Interim. Adoptant une spécialisation marquée sur les métiers de la Finance et de la Comptabilité depuis sa création en 2005, la filiale du groupe Robert Walters a ainsi vu la preuve de la pertinence de son modèle dans ce mouvement général, tout en se différenciant de manière notoire grâce à une avance certaine en matière d’expertise, de recherche de l’excellence et d’approche « candidat ».
Une évolution de la perception de l’intérim
Parallèlement et conséquemment à l’évolution du métier, l’intérim n’est, à juste titre, plus perçu de la même manière par les entreprises et candidats. Variable d’ajustement, passerelle pour les entreprises, l’intérim est aujourd’hui davantage synonyme de liberté que de précarité, auprès des cadres et fonctions « col blanc ».
Plus de 20% de nos candidats fidèles font le choix délibéré de l’intérim. Il est nécessaire de savoir qu’un intérimaire, à poste égal, gagnera par ailleurs davantage qu’une personne en contrat permanent. Un écart encore plus net à l’étranger qu’en France avec des ratios qui peuvent environner les +20% de salaires en intérim pour un même poste. « Plus le pays est en situation de pénurie, plus nous observons une plus-value importante sur les salaires intérimaires » explique Antoine Morgaut.
L’intérim, sas de gestion du changement
L’intérim se révèle par ailleurs être un remède contre les a priori. Actuellement à 3,8%, le chômage des cadres est finalement lié à un décalage plus ou moins important entre l’évolution des besoins et l’offre d’expertises. L’intérim s’avère ainsi être un outil plus flexible permettant d’ouvrir les besoins vers d’autres compétences. Le seuil d’exigence y est plus souple et l’intérim offre alors de belles opportunités de rebond à des individus de qualité.
« Grâce à l’intérim, nous observons en effet un assouplissement des critères de recrutement mais également des critères des candidats. L’employeur est plus souple et le candidat se sent plus libre. L’intérim représente aujourd’hui une sorte de sas de décompression vécu de plus en plus positivement » observe Alain Mlanao.
La France vit à présent les prémices d’une mutation de plus grande ampleur: l’intérim change de visage et va poursuivre sa croissance. « Dans les pays en forte pénurie comme l’Asie, nous constatons qu’une expérience d’intérim n’a absolument rien de dévalorisant. Nous avons le sentiment, via notre expérience de terrain, que la France chemine à grands pas vers une perception identique du travail temporaire » ajoute Antoine Morgaut. « L’avenir sera ainsi aux acteurs en capacité de mettre en place une relation qualitative et exigeante avec les candidats. L’humain doit rester au centre de nos préoccupations. C’est notre conviction ! Et nous l’affirmons avec notre nouvelle identité : l’humain a toujours été l’objet de tout notre investissement. Derrière People nous plaçons les candidats mais aussi nos consultants, vecteurs de notre croissance !».