La conduite du changement est un processus du vivant d’autant plus que si à l’arrivée vous êtes resté vous même à l’issue du changement, vous pouvez constater le changement que vous maitrisez, alors que si vous changez comme on vous l’impose (processus et individu) vous aurez du mal à canaliser l’objet du changement et l’individu que vous êtes et vous êtes en perte de sens.
Là encore les réseaux sociaux 2.0 comme "outil " de la Conduite Collaborative du Changement (3C) vont donner sa pleine mesure dans les projets transverses. Et qui mieux que le Leader peut influencer et crédibiliser une telle démarche?
Le DRH est souvent à court de munitions face aux requins internes, il avance à découvert, on sait qu’il parle humain, les autres parlent performance et rentabilité ou gestion des coûts, le débat est inégal d’emblée. Les uns objectivent, les autres subjectivent, comment concilier les extrêmes?
Comme en mécanique l’onde fait la particule, l’individu et le collectif c’est pareil.
La séduction/confiance s’opère par la relation, l’outil et le langage, voire le mythe et la croyance, certainement pas par l’injonction ou la délation ou l’invective ou la stigmatisation et encore moins par la réparation (droit de faire la faute si on paye le tribut qui s’y rapporte) qui est un calcul comme un autre.
"La Gouvernance socio-économique, nouvelle mutation des organisations de progrès – et le 2.0 comme META OUTIL du langage collaboratif" devient un enjeu stratégique des entreprises et organisations évolutives.