Le terme de blended learning se traduit littéralement par apprentissage mixte. Reste à savoir de quelle mixte parle-t-on ?
Stéphane Diebold, vice-président du GARF, association professionnelle des acteurs du développement des compétences en entreprise, et directeur de Temna, nous livre, tous les mois sur MyRHline, son analyse de la formation en prenant pour base de réflexion un mot du dictionnaire.
Il existe, en effet, peu de formation qui ne revendique pas la mixté de quelque chose. A l’origine, la mixité portait sur le mariage des formations classiques, présentiel, et des formations elearning, distanciels, pour aujourd’hui prendre une forme qui cherche ses frontières, au elearning s’est adjoint le web 2.0, la réalité augmenté, ou toutes autres innovations des NBIC, et certains vont même plus loin en pensant le blended learning comme le mélange de toutes sortes de pédagogies d’où qu’elles viennent, la fécondation de la carpe et du lapin pour peu que l’objectif soit formatif.
Concrètement qu’est-ce que cela représente ?
Stéphane DIEBOLD
Cet article pourrait vous intéresser : tout savoir sur le bilan social individuel.