La méthodologie normalisée de l’Indice de Bien Etre au Travail, l’IBET©, appliqué aux entreprises et organisations, s’enrichit de nouveaux concepts portant sur l’EBIT caché et le Goodwill Social.
Les perturbations d’organisation et de management portant sur le Capital Humain s’accélèrent de façon inquiétante au point de voir le risque social évoluer vers un risque global.
La mise en place progressive de l’IBET© sur ces derniers mois dans de nombreux (25) projets identifiés de secteurs variés comme : Banque, Assurance, Services aux particuliers, SSII, Distribution, Collectivités territoriales et entreprises Publiques ; conforte l’urgence de la quantification des Indicateurs de mal être au travail et de leur impact sur la performance globale des organisations ( économique et sociale).
Nous avons ainsi pu mettre en évidence la notion de l’EBIT caché qui mesure la dégradation de la Valeur Ajoutée Directe (VAD) comme manque à gagner pour l’actionnaire et le dirigeant, ce qui pénalise la lisibilité d’un EBIT optimal qui ne tient pas compte de la performance potentielle d’une organisation qui se sent bien au travail et pose ainsi le problème de la valorisation du Capital Humain.
A l’inverse, une organisation qui aligne avec succès sa performance globale sur le bien être et la qualité de vie au travail pourrait dégager un Goodwill Social, une survaleur due à son Capital Humain qui se sent bien dans son entreprise et qui est motivé.
Nous pouvons donc établir une expression de la RELATIVITE SOCIO-Economique entre le Goodwill Social et l’EBIT caché qui se définirait par :
Goodwill Social X EBIT caché = 1
Goodwill Social X EBIT caché = 1
Autrement dit, plus une organisation détruit de la VAD par des pratiques managériales générant de la souffrance au travail, plus son IBET est faible et donc son EBIT caché élevé se traduisant par un Goowill Social faible (Badwill) pour l’actionnaire.
Victor WAKNINE,créateur de l’IBET et Gérant associé de www.mozartconsulting.fr déclare à ce sujet " La valorisation du Capital Humain et son développement sont des enjeux majeurs des ntreprises et des organisations d’après crise, il manquait jusqu’ici une formulation simple du Bien Etre au Travail basée sur des indicateurs socio économiques mesurables, l’IBET, l’EBIT caché et le Goodwill Social répondent à cette demande incontournable des DG et des DRH évoluant en business partenaires".