La troisième partie de la série à succès « La Casa de Papel » bat son plein actuellement sur Netflix. La bande de braqueurs espagnols aussi intrigants qu’attachants revient pour un nouveau braquage. Les personnages de la série ont tous un caractère bien trempé. Certains sont des leaders, d’autres plus en retrait, mais chaque membre forme une équipe soudée. Mais lequel de ces personnages pourrait faire un bon DRH capable d’asseoir son autorité tout en étant aimé de tous ? Voici notre avis sur plusieurs personnages, un seul serait capable de relever cette mission.
La Casa de Papel – Tokyo, l’impulsive de la bande
Le moins que l’on puisse dire c’est qu’elle ne manque pas d’impulsivité. Très souvent, elle a tendance à agir dans l’instant T sans penser forcément aux conséquences. Tokyo a besoin de changements réguliers et d’actions pour se sentir bien. Parfois dure, elle manque également de bienveillance à l’égard de ses collègues. Les apparences sont parfois trompeuses avec Tokyo, capable de charmer n’importe qui mais aussi de décevoir sans le vouloir.
Rio, le jeune crack de l’informatique
Le petit jeune de la bande. L’informatique n’a aucun secret pour lui. En effet, il est capable d’utiliser et cracker tous les logiciels existants. Un gros plus à l’ère de la digitalisation. Néanmoins, son immaturité lui porte préjudice. Rio peine à prendre des décisions et il est très émotif. De plus, il mélange vie professionnelle et vie privée en craquant pour Tokyo. Néanmoins, il sait user de son charme et de sa gentillesse pour masquer ses erreurs.
Denver, le gros dur au grand cœur
Denver est certainement l’un des personnages les plus attachants de la série. Ainsi, il se montre parfois dur, souvent impulsif avec les autres mais montre un grand cœur et une bienveillance totale. Le jeune braqueur n’est pas un leader, il exécute les ordres. Mais son impulsivité lui permet parfois de prendre des décisions fortes pour le bien-être du groupe. Pas forcément le plus compétent ni le plus doué, il est apprécié de tous par son sens du devoir. Son parcours n’a pas été un long fleuve tranquille.
La Casa de Papel – Moscou, le papa du groupe
Certainement le personnage le plus gentil de la série. Aux yeux de tous il est comme un père. Protecteur, blagueur, il pense au bien-être des autres avant le sien. Pas toujours fin dans sa réflexion, Moscou est plus à l’aise dans l’action et ne tombe pas sous la pression. Attention spoiler alerte si vous en êtes à la partie 1 de la série, Moscou perd la vie laissant derrière lui un grand vide pour Denver et les autres. S’il n’est pas forcément un leader, il est à coup sûr le collègue idéal pour mener à bien un projet.
Nairobi, une pile électrique
Dans la 3e partie de la Casa de Papel, Nairobi assume de plus en plus son rôle de leader. Véritable combattante, elle semble montée sur ressorts et ne tient pas en place. Elle parvient à entretenir une bonne relation avec chaque membre du groupe. Son charisme et son enthousiasme sont communicatifs pour ses collègues. De plus, Nairobi est franche, bienveillante, et travaille toujours pour l’équipe.
Berlin, le leader narcissique
Mégalomane incapable de ressentir de l’empathie, il éprouve aussi un certain mépris envers les femmes. À la fois sadique et malsain, il fait régner une atmosphère inquiétante dans la bande. Toutefois, il présente les qualités d’un vrai leader. En effet, calme face à la difficulté, est également très compréhensif, il sait mener ses troupes d’une main de maître. Le frère du professeur montre qu’il a l’étoffe d’un chef dans la partie 1, lorsqu’il se sacrifie pour le salut de la bande de braqueurs.
La Casa de Papel – Helsinki, un discret nounours
Son physique de catcheur a de quoi faire peur. Pourtant, Helsinki est un véritable nounours au grand cœur. En effet, il est toujours aux petits soins avec ses collègues et fait preuve d’une véritable délicatesse. Pas vraiment la tête pensante du groupe, il exécute les ordres sans jamais se révolter. Très discret, parfois effacé, Helsinki peine à s’affirmer auprès des autres.
Le professeur, l’intello de la bande
Il est le cerveau de toute l’opération. Le professeur calcule chaque détail, il est très perfectionniste et méticuleux. De plus, il trouve la solution à chaque problème. Néanmoins, le professeur n’est pas doué dans les relations avec les autres et il est timide et réservé. Apprécié de tous par son intelligence et sa gentillesse, il consterne parfois par sa froideur et n’est pas doué pour montrer ses émotions.
L’avis de la rédaction : Nairobi, la DRH idéale.
Un rôle de leader qui lui va comme un gant. Naturelle, dynamique, elle sait mener son équipe en distribuant des bonnes doses d’enthousiasme même face à des situations difficiles. Une DRH agile, compétente dans plusieurs domaines et douée sur le plan relationnel, elle ne se laisse pas marcher dessus et remplie tous les objectifs à chaque mission.
Timothée DECAUDIN